Pier Paolo Pasolini n’a eu de cesse de dénoncer la société de consommation que Michel Clouscard décrivait à la même époque comme un euphémisme désignant l’avènement de la société néo-fasciste dans laquelle nous vivons actuellement.

Pasolini décrit ici la dissolution de l’âme italienne dans la modernité fasciste occidentale, celle de l’après-guerre et de la société de masse. Un drame irréparable qui correspond à ce qu’il s’est passé en France mais aussi dans d’autres pays. Nous assistons au meurtre des identités et nous arrivons dans la nuit des peuples.